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 Cours Laetitia

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AuteurMessage
Antoine
Invité




Cours Laetitia Empty
MessageSujet: Cours Laetitia   Cours Laetitia Icon_minitimeJeu 28 Jan - 0:51

_____________________________________

Coucou ma puce ! Voila j'ai réussi a viré tout les carré, je les ai remplacer de base par un "é" donc des fois sa ne correspondra pas forcément, de plus a chaque fois que j'ai remplacé le carré par un "é" sa a suprimer la lettre suivante du mots...
Même si c'est chiant je trouve que c'est plus lisible comme sa en devinant la lettre dans le mots plutot que des vieux carré tout moches... -_-

Voila j'te fais tout pleins de bisoux ! Ze te nem <3


_____________________________________


Histoire du livre (15 octobre)
prendre la brochure F1121

-> contrée apré le 16 janvier (date pas encore déermin· d'une heure et demi avec des questions de cours 5 qs ponctuelles sur des déinission (sur 2pts) et deux questions de synthée (sur 18pts), attention ·la mise en forme, aux fautes d'orthographes, on ·le temps en une heure et demi de bien réléhir.

Bible vient du grec Ta biblia (mot pluriel car éait éris dans plusieurs rouleaux). A l'invention du livre la fluidit·du texte d·aux rouleaux ne sera plus, les textes seront fixé

I l'avéement du livre

I le livre dans l'Antiquit
A DU rouleau au codex
a Tablettes d'argile ou de bois et b Papyrus
Livre : Liber: fine pellicule encore l'arbre et l'éorce: partie utilis·au tout déut pour le livre
Page : Pagina: analogie entre ériture et les plantes qui avaient des formes dans les vignes: voc/ agricole
4M av JC: notes prisent sur de l'argile: ostraca; utilisation de tablette en bois ou méal (recouverte de cire) gravure au stylet. Peut maniable-> arrivé du papyrus déut 3ée milléaire av JC jusqu'au IIIs ap JC (roseau qui pousse dans la vallé du Nil. On érit que d'un cot·du papyrus et dans le sens de la fibre. Explicarer= déoul·le rouleau)

B Apparition du codex
Apparition du manuscrit, page reli·comme les livre de mtn: apparition du codex: li·au dvlp du christianisme pour se distinguer des juifs qui érivaient sur des rouleaux. Christianisme s'impose.
Le codex est beaucoup plus facile que le volumen(rouleau): on peut le feuilleter, on peut travailler avec plusieurs livres ouverts. Le codex a changer le rapport ·la lecture et l'ériture.

II le livre au Moyen-Age
A Les matiées
a les tablettes de cire
celles ci sont utilisé encore au m-a mais seront utilis·en brouillon

b parchemin
Parchemin: Pergamina (au déut utilisation de membrana lien avec la peau) ville de centre de production de parchemin depuis IIs avt JC
Parchemin appréi·pour sa blancheur/ tablette de cire noire; fait en peau de mouton, etc, le véin(veau mort-n· donnait le parchemin le plus beau; Parchemin moins préieux que le papyrus donc moins utilis·pourtant est plus robuste, tré fin et tré souple.
Au VIIIs. le parchemin l'emporte sur le papyrus.
Le P. est cher, tout les bouts sont gardé, pour érire dessus ou faire des reliures.
Technique de crétion longue et coéeuse.

c le papier
Papier: Papilus invention ancienne des chinois mais introduit seulement au XIs. en europe par les arabes. Beaucoup moins coéeux, surtout utilis·pour les brouillons, pour les manuscrits moins beaux.
les manuscrits minutes-> textes copier rapidement avant le m. grosse
la grosse-> textes recopi·proprement sur du parchemin

La déocratisation du livre se fait quand le matéiau utilis·se fait moins cher: lors du papier.
B Les instruments d'ériture
a calame, plume d'oie, stylet, mine
calame: roseau effil··l'extréit·et plume d'oie permettent les pleins et déié (permet une grosse ou fine ériture). Les deux se tiennent par 3 doigts et ·mains lev·pour ne pas tacher le parchemin).

b Encres et pigments
Encre noire: eau, suie, gomme arabique.
Encres de couleurs: origines variés, les baies, la cochenille(rouge), l'azurite pierre préieuse réuite en poussiée(bleu), l'or ou les feuilles d'or.

A les éapes de la fabrication
a leparchemin (voir plus haut)

b les cahiers
cahiers de taille variable. Un pliage: un-folio, quatre pliages: in-quarto
cahier le plus courant : quaterrion

c mise en page: piques, rélures, justification
c copie du texte. Colophon
13-14-15 ée s. crétion d'atelier de production du livre (plus par des moines mais des la·ue), les bon scribes doivent érire proprement, ils érivent en moyenne 200 lignes/jour. Il y a un scribe en chef, qui relit, corrige. Parfois les scribes signent: un Colophon, parfois la date, le nom, parfois ils érivent un peu plus (plainte de condition de travail).

e rubrication
Titre en gééale en rouge d'ou le nom rubrique (ruber, rouge en latin)

f Illustration
les initiales sont peintes ou tracés ·l'encre.

g reliure
Les pages sont empilés dans le bon ordre, il y a une rélame qui permet au relieur de bien mettre les suites ensemble, les cahiers sont cousus avec des laniées de peau et la couverture en cuir(parfois les laniées formes des nervures a travers la cuir). Il y avait un fermoir pour que le livre ne s'ouvre pas, et il y avait des boulons fixé sur le dos du livre pour que la reliure ne s'abée pas.

Cours d'histoire du livre du 23 octobre

II Le texte dans les manuscrits

I l'ériture
A Les types d'ériture
signes repréentent une notion: idégramme
signes repréentent un son: phonogramme

id égramme: (idea et gramma en grec). Champollion ( utilise le premier le mot idégraphique, devenu plus tard idégramme. Les premiers a utiliser les idégrammes sont les Suméiens 3M-4M ans avt J.-C. Dans le bassin méiterranén, il utilise une ériture pictographique (resemble a l'objet concret).
Puis arrives l'ériture cunéforme (notion par les signes, parfois apparition des sons).

Phonogramme: vient des phéiciens (inventeur de l'ériture alphabéique) ne notent que les consonnes, ériture comprennant 22 lettres. Déeloppement 12ée s. av JC.
L'alphabet grec 9ée s. av JC ils adaptent l'alphabet phéiciens et y ajoutent des sons vocaliques de leur langues.
Vient l'alphabet Etrusque, 20 lettres, 16 consonnes et 4 voyelles. Forme definitive 5ée s. av JC.
L'alphabet latin prend sa forme déinitive 1er s. ap JC.

B L'éolution de l'ériture au Moyen-Age (voir p.9
Palégraphie: science des éritures anciennes

1 onciale et semi-onciale, 6é s.
d éigne le doigt: mesure de grandeur. Les lettres éaient assez grandes, utilisé pour les titres, puis la semi-onciale sert au texte.

2 cursive méovingienne, 8és.
Plus petite, plus rapide a érire

3 minuscule caroline, 9és. et 4 ériture monastique 12és.
Invent· a l'éoque des rois carolingiens, s'impose jusqu'au 12és. 2Criture tré réuliée, tré lisible, tré ronde. écriture apprise dans les monastées.

5 gothique universitaire, 13és. et 6 cursive livresque, 14é-15és.
Utilis· par les professeurs. Ecriture angulaire, lien avec le passage de l'architecture romane ·l'architecture gothique. S'impose dans toute l'europe

7 batarde bourguignonne, 15és.
Premiers textes imprimé sont éris avec l'ériture batarde bourguignonne

8 humaniste ronde 15és.
Retour a l'ériture romane du 9és., a l'éoque ils pensaient que c'éait l'ériture utilis·dans l'antiquit·

II Du latin au Franéis: Naissance de la littéature franéise
Les textes littéaires sont conserv·dans des manuscrits, peu de manuscrit trouvé avant le 2és.
Tr é peu de textes d'autant d'avant (une dizaine), ce sont cependant des textes non littéaires, (glossaire, charte, compte, des sermons, des vies de Saints,...) ils sont en dialecte anglo-normand: dialecte de l'ouest de la France et parl·aussi en Angleterre.

1 jusqu'au 11és.
Les serments de Strasbourg 842, texte juridique prononc·par les deux petits fils de Charlemagne contre le troisiée contre celui-ci pour lui prendre son territoire. Le manuscrit est 100 plus jeune que la date des serments (dont les historiens sont sure).
880 apparition de la séuence ou cantilée de Sainte Eulalie

2 premier textes franéis
Poées religieux, pour enseigner la bible car le peuple ne savait pas lire le latin.
La chanson de Sainte Foy, chanson de Saint léer (10és.), la chanson de Saint Alexis (11és.).
La Chanson de Roland (fin 11é déut 12és.) raconte la bataille avec les sarrasins. (voir brochure histoire littéaire)

3 La réolution culturelle du 12és.
Explosion culturelle: renaissance du 12és., péiode riche culturellement. Prospéit·permet le déeloppement de la culture dans les cours de Henri II Plantagené et Aliéor d'Aquitaine en Angleterre. En France Henri Ier de Libéal et sa femme Marie de Champagne. La noblesse s'éancipe par rapport a l'élise. Les hommes d'Eglise, les clerici, et les Laici (langue vernaculaire/vulgaire) par la noblesse. Naissance d'une nouvelle idélogie: la courtoisie, nouvelle image de l'amour: la fine amor. La femme devient la Dona que l'homme doit méiter. Donne une impulsion a cette éoque.
Dans la cours anglaise, personnage connu: Wace, premiée mention de la table ronde dans son manuscrit. Benoé de Sainte Maure a récrit le Roman de Troie. Marie de France, les lais. Thomas et Béoule, leur version de Trisan et Iseult
Du cot·franéis: Chréien de Troy, le conte du Graal

III La mise en page des manuscrits
1 les colonnes
Les textes franéise copient les textes latins en une colonne (p.5-6). Plus tard, seront éris sur deux colonnes (p.14-15), rarement éris sur trois colonnes. A la fin du M-A, on revient a une colonne (p.16).

2 déoupage du texte
Assur· par les lettres majuscules, les rubriques (titres). Le déoupage d'un mée texte peu varier selon le manuscrit. Ce déoupage met en relief le manuscrit, les majuscules servent a signaler une importance dans le texte, n'est pas la pour déouper, marquer la phrase comme on a maintenant.
Les mots sont parfois collé, faire un effort pour un déoupage moderne. Séaration de la premiée lettre du mot au déut de chaque ligne (p.23).
La ponctuation est moindre et ne ressemble pas a la ponctuation moderne. Il n'y a que le point et le point suréev· Le point sert ·déimiter les groupes de mots, parfois une pause; le point suréev·sert pluté ·une interrogation.
Au 15és. Apparition de crochets adlinéaires (p.15), comme un c majuscule qui marque un point.

3 abréiation
Systée mise au point par les moines d'abord pour des textes latin puis pour les textes franéis.
Ex: barre droite sur une lettre, pour la nasalit·''lague''-> prononc·''langue'' (p.28-29); q avec une barre dessus = que
Les imprimeurs gardent les abréiations au déut.

Cours d'histoire du livre du 30 octobre

I L'illustration des manuscrits méiéaux
1_Enluminure
Illuminare = mettre en lumiée; rendre le livre chatoyant, flamboyant.
Mot déignant tout les ééents déoratifs et les illustrations qui embellissent le livre. Terme gééal


2_Miniature
(13ées siéle) Miniatura ( du verbe miniare) = enduire de minium (oxyde de plomb) -> rouge
miniature déigne des scées, des personnages, dans un espace encadr· racontant une scée en lien avec le livre. Plusieurs enlumineurs pouvaient travailler sur ces miniatures (une personnes pour le fond, une autre pour tel ou tel chose) lorsqu'elles éaient compliqués, déaillés

3_Lettre historié
Est une lettre qui inclus une petite scée illustré, Un grand Q remplie avec un passage de l'histoire avec des personnages, c'est ·l'intéieur d'une lettre. La lettre fait comme un cadre, elle est tré éaboré. (brochure p.23)

4_Lettre orné
Ne préente pas de scée particuliée mais orne simplement une lettre, souvent enjoliv·avec des feuilles, la nature en gééal. (p.7 et 24). il n'y a pas d'histoire raconté.

5_Lettre filigrané
Lettre trac··l'encre, alternance, bleu-rouge (p.11 et 20). Elles ont des volutes.

6_Initiale champie
In étiales plus petites, moins déoré, souvent couleur or, sur fond rose, bleu ou rouge. Belles car faites ·la peinture, mais moins déorés, souvent au milieu du texte

7_Lettrine
Majuscules tracés ·l'encre de couleur

8_Pied-de-mouche
Petites initiales aux formes arrondis, plac·au milieu du texte pour marqu·un nouveau paragraphe ou un nouveau point.

9_Frontispice
S éies de scées ouvrant un manuscrits, couvrant une bonne partie, voir toute la page. Elles proposent une premiée lecture du texte (p.24)

10_Illustration marginale ou Marginalia
Se sont les déors qui figures dans les marges, des bordures qui a partir du 13ée siéle se déeloppent. Toute la marge est compléement recouverte de déors tel que des vééaux (lianes, fleurs, volutes<->rinceaux, bourgeonnements (p.24). Particuliéement appréi·au moyen-ée. Déors qui permet de crér un cadre o·de nouvelles images peuvent se percher, comme des animaux, (p.12 et 13) oiseaux, lapins, chiens, singes, des ére hybrides (humain-animal), la nudit· scées de la vie quotidienne (p.22). Ses scées se déeloppent compléement en dehors du texte, elles sont autonomes.Elles peuvent ére comique, satiriques, sont la pour amuser mais aussi de poser des question sur l'humanit

II Fonctions des images
1_Déorative
Permet d'embellir le manuscrit qui est un objet d'art, la pour accompagner le plaisir des yeux. Plaisir purement esthéique.


2_Structurelle
L'illustration permet de se repéer dans le manuscrit, ·la base il n'y a pas de pagination, de table des matiées. Les images permettent de savoir o·le lecteur se situe. S'il tombe sur un frontispice il sait qu'il entame une nouvelle partie du livre. (p28)-> le frontispice nous donne le cadre de l'histoire. Debut du texte, lettre historié, introduit le prologue. Pour ouvrir les difféents éisodes et l'introduction, viennent les lettrines. Et quand comment l'histoire une partie nouvelle on a une lettre champie, plus simple mais toujours orné.

3_Illustrative
Le déors ·pour fonction d'illustrer le texte. (les images repréentent -elles le texteé Ou sont elles en déalageé). Les images peuvent parfois en dire plus que le texte (p.28) -> le texte dit que l'homme est couch·dans son lit rien de plus, l'enlumineur doit donc imaginer un lit, il doit ajouter des déails qui ne sont pas donn·dans le texte.
Parfois les images peuvent dire des choses un peu fausses. Ex: texte dit qu'un page arrive pour remettre une éé au roi-péheur, qui est un roi impotent. Or l'enlumineur le repréente venant chercher lui mée l'éé (or roi malade et un roi ne se lée pas lui mée).
Les enlumineur ne sont pas des artistes, mais pluté des artisans qui posséent une banques d'images virtuelles ou des modées, tel des images type de batailles, d'un banquet, d'un homme et une femme, d'un roi, etc..... des modées qu'ils rédaptes selon le texte s'ils sont assez bon et qu'il lisent le texte. A l'inverse ceux quine sont pas intéessé ne feront que refaire un modée sans se soucier le texte.
Les enlumineurs ont un problée pour repréenter des notions abstraites, du temps.

III Rapport teste-image
1_Programmes iconographiques
Les illustrations orientent l'interpréation de l'oeuvre, il peut y en avoir des centaines.
Ex: roman arthurien: autour de deux thées arme/amour ->scées de batailles, et scées de rencontres amoureuses. L'éuilibre entre les deux thées peut ére gard· ou bien l'illustrateur peut mettre plus en avant les scées de batailles ou inversement. Selon la sensibilit·des aspects du texte par l'illustrateur.
Ex: chez Chréien de Troys, le Graal est un objet merveilleux (pierre préieuse, etc...), l'illustrateur peur le repréenter dans se sens, mais aussi peut le repréenter dans le sens religieux (qui prend de l'ampleur au M-A pour la calice du graal).
(p.11)-> petite histoire raconté dans les cadres, histoire biblique raconté par le texte et, par les illustrations.
Rée des frontispices-> constitue l'entré des iconographies. Réume le déut d'un roman ou fait un rapide réum·des ééements qui vont se passer. Des scées séar·en vignettes, soit une seule grande image ou les actions se juxtaposent.

2_Importance du symbolisme
Illustrateurs doivent posséer un code (comme les auteurs de bandes dessinés) pour suggéer un certains nombres de choses.
En é avec une couronne alors qu'il ne l'est pas encore, mais l'illustrateur lui en met une pour suggéer qu'il sera bienté roi de Rome.
Un roi qui pense: un homme avec une main appuyé sur la joue avec une couronne sur la tée.
Un roi : un homme avec une couronne et un sceptre avec une fleur de lys
Amour: un homme avec des ailes et une couronne sur la tée, il indique aussi avec ses doigts qu'il agit sur l'autre personnage. L'autre personnage avec les mains éarté repréente une passivit· voir une surprise dans certains cas.

6 Novembre

IV Livre et lecture

I Spéificit·du livre manuscrits
A Caractée unique de chaque texte
Au m-a chaque texte est unique.
Grand nombre de petits romans en vers sont parvenus dans un seul manuscrits ex: Bel Inconnu
des parties des textes manquent.
Les grands romans en prose (Lancelot et Tristan)

B La mouvance du texte méiéal
Paul Zumthor-> mit en éidence la mouvance des textes

1 les erreurs de copistes
->saut du mée au mée: mée séuence de mots rééé ''le chevalier réondit'' puis plus loin ''le chevalier réondit'' sans préer attention le scribe va sauter la partie entre les deux expressions identiques.
->lorsque le copiste ne comprend pas les mots qu'il recopie, il peut parfois donc changer la signification des mots. Le copiste suivant, sent qu'il y a une erreur, soit il retrouve le bon mot et le corrige soit il ne comprend pas et trouve un autre mot qui pourrait aller dans le texte.

2 Les interventions du scribe
Le scribe change volontairement le texte qu'il copie
-> Guiot: manuscrit clair, attéue les effets de style de Chréien de Troys.

II Difféents types de manuscrits
A les types de recueils
-> manuscrits ·texte unique

-> recueil cumulatif: plusieurs texte copi·séaréent dans difféents cahiers, puis compil··la demande d'un commanditaire riche; livre ''bibliothéue'' unique pour un commanditaire.

->recueil intéral: scribe rassemble lui-mée des textes dans l'ordre qu'il veut et qu'il va recopier de lui-mée. Ex: rassemble les textes sur l'histoire de Guillaume (son arbre géélogique, son enfance,...)

-> recueil factice: ensemble de textes sans liens relié de faén artificiel (ex au XVIIés.), de faén hasardeux. Le manuscrit d'Oxford, outre la Chanson de Roland contient des textes de Platon.

B Les manuscrits musicaux, les manuscrits scientifiques
->Notation musicale neumatique: texte not·avec les ornements musicaux chant·par dessus le texte (brochure p.6). Certains on le texte accompagn·des partitions (p.12, 20)

->manuscrits scientifiques: (p.5) repréentations plus ou moins belle, le copiste ·pu faire les cercles ou bien l'enlumineur.



C Mise en page des textes, les Gloses
(p.17) textes entre les lignes: des gloses interlinéires.
Textes dans les marges: gloses marginales.
(p.18) mise en abée de la page, avec au milieu en gros caractées le texte ·commenter, avec des gloses interlinéires et marginales.

III Le statut de l'érivain
A Les autorité
Les érivains ne se préendent jamais ·ce qu'ils érivent. Ils disent simplement qu'ils reprennent.
Si l'auteur fait quelque chose de nouveau il va se placer derriée des autorité-> les érivains de l'antiquit·(Ovide, Virgile) ou ceux de l'éoque romaine (Saint-Augustin). Respect pour les autorité. Pas de sentiment de proprié·de la littéature.

B L'anonymat
Les auteurs ont consciences qu'ils reprennent des textes antéieurs et le sentiment qu'ils participent ·une communaut·littéaire. L'individu se perd dans cette communaut·a laquelle il empreinte des texte. Rapport de l'individu ·la communaut·fort. Ne ressente pas vraiment l'utilit·de s'affirmer (cette affirmation commence a apparaére vers le 12é et 13é s.)
La bible est seulement commenté mais jamais touché ·l'inverse des textes des auteurs.

IV Les lecteur des hommes au Moyen-Age
A La bible
L'apocalypse, Saint-Paul... source de vocabulaire pour les auteurs.

B Auteurs latins antiques
Cic éon, Ovide, Stace, Horace, Pline l'Ancien (·l'origine des livres qui parles des plantes, des pierres, des manuscrits scientifiques du moyen-age)

C Auteurs latins profanes du déut de Moyen-Age
Isidore de Séille (VIIés.), Orose (Vés), Macrobe (Vés.)

D Auteurs du Moyen-Age
Geoffroy de Monmouth, auteur de Historia Regum Britanniae. Chréien de Troys, Benoit de Dainte-Maure auteur de Roman de Troie, Jean de Meun et Guillaume de Lorris auteurs de Roman de la Rose.

Cours d'histoire du livre du 13 novembre (M. MAGNIEN cajmagnien@wanadoo.fr)

premier objet manufactur·produit ·la chaée: le livre (outils intellectuel)
enjeu du cours: spéificit·d'un objet fabriqu· vendu, revendu.
Le livre a l'inverse de l'ordinateur permet le feuilletage, de prendre connaissance d'un contenu plus rapidement. Le livre est un objet dans lequel on fait des trouvailles.

I Gutenberg et l'invention de la typographie
1455 -> ·partir de cette date le livre manuscrit ''naé'' car il est demand· command· il est un besoin.
Gutenberg 1395-1460 (·prit le nom de la boutique de son pée)-> naé·Mainz (en franéis Mayence), ville prospée. Son pée va lui apprendre son méier, le méier d'orfére. é 14 ans il s'installe sur Strasbourg o·il fait fortune. Il invente un procé·de fabrication plus rapide pour crér des petits miroirs que l'on mettait sur les chapeaux lors des péerinages. Il retourne ·Mainz quelques annés plus tard et commence ·travailler sur son projet de presse pour accééer la crétion des livres).
Avec Gutenberg le livre devient imprim·''·la pelle'', ce n'est pas un livre déir· il doit partir ·la conquée de lecteurs, d'acheteur. Le livre doit devenir conquéant.
p.27 fig.1 brochure -> procé·d'estampage (un tampon) avec ce procé·on obtient un livre xylo(bois)graphique(graphie). Il y a donc l'image et des espaces pour le texte grav·en caractées gothiques. Les caractées sont gravé·l'envers, fonctionnement en miroir. Voir p.38
C'est un travail long, extréement coéeux, et ne permet de faire qu'une seule histoire (car estampe difficile a crér donc on en fait que pour une histoire).
Typographie -> impression ·caractée mobile, permet d'imprimer difféents livres, les lettres sont réupéés et peuvent donc resservir.
Crétion de la presse -> p. 38-39 de la brochure. L'encre des copistes éait liquide, or pour l'impression ce n'est pas la meilleur solution (risque de taches,...), l'encre trouvé est une encre plus éaisse et qui séhe vite (méange avec de la réine de pain...). Avec la typographie toutes les lettres sont identiques ·l'inverse des scribes. -> donne une ériture standardisé.
Fontes de caractées -> ensemble des caractées rangé dans des casses. Fig. 37 p.40. UN caractée d'imprimerie fig. 31 p.37 ·l'envers pour imprimer ·l'endroit.
Au déart G. a imprim·180 copies de son premier livre (La Bible de Gutenberg 1452-1455).
L'invention de Gutenberg n'aurait pas pu avoir lieu sans la chose la plus importante : le papier, compléent indispensable, p.38 fig.36.
Papier ·la forme (60x40) -> grandes feuilles d'o·sont crés les livres. Ces feuilles sont faites dans des Formes qui ont une filigrane au fond, qui permet de savoir quel moulin ·fait ce papier fig.41 p.41. Ce dessin permet de dater les livres.
Les rames de l'éoque font 500 feuilles (de 40x60) ; c'est rest·de nos jours lorsqu'on achée une rame c'est toujours 500 feuilles.
La Bible de Gutenberg -> ·180 exemplaire 1452-1455 ·Mainz. Bible ·deux colonnes, 42 lignes. Gutenberg et les travailleurs auront imprim·une bible de 1465 pages (40x30 format infolio), ils auront pass·sous la presse plus de 260 000 feuilles. Pour mettre ce travail en place, G. ·du trouver un financier, Fust, qui lui ·pré·800 florins. Lorsque la publication ·commenc· le financier lui ·demand·de le rembourser. Celui ci n'ayant pas encore vendu assez de bible a é·train·en justice par Fust. La presse de G. fé confisqu·et donn··Fust, et il alla en prison.
Fig.3 p.27 -> erreur d'impression dans le mot -> une Coquille_ Colophon -> indication du copiste ·la fin du manuscrit sur la fin de l'ériture du texte, ici est un achev·d'imprimerie.

II La fabrication du livre ancien
P.39 fig.35bis -> atelier hollandais avec difféents postes de travails (travail ·la chaée).
Poste 1 -> relecteur : lira la premiée page de chaque feuilles pour trouver les coquilles. Relecteur regarde la qualit·syntaxique du livre, qualit·matéiel du livre, doivent éablir la copie, le manuscrit/ les pages imprimé, c.a.d éablir le texte qui sera la rééence pour tout l'atelier, pour la correction syntaxique et aussi pour calibrer le nombre de signes qui sera néessaire pour faire l'ouvrage. Ils doivent déerminer sur le manuscrit, ou le support, la pagination ; o·commence la page o·se termine-t-elle -> le calibre
Poste 2 -> typographe : fig.31p.37 chaque feuillet permettent au compositeur d'avoir le texte sous les yeux et de l'imprimer lignes par lignes. Il pose les lettres dans un composteur fig.31 en haut ·gauche. Travail minutieux, lorsque la ligne est finie le compositeur installe la premiée ligne dans la forme, ainsi de suite. C'est le travail le plus long de l'atelier mais le plus important. Il faut une bonne journé pour faire une composition, c.a.d 1000 caractées mises en place. Pour imprimer 8 pages sur une feuille il faut imprimer en haut ·gauche le 1 et en haut ·droite le 8 les deux ·l'envers et en bas ·gauche le 4 et en bas ·droite le 5 ·l'endroit.

1(·l'envers) 8(·l'envers)
4 5

7(·l'envers) 2(·l'envers)
6 3
V éification de la composition, s'il y a des coquilles, etc, puis si tout est bon on passe au tirage de la feuille; Tirage car l'ouvrier tirait sur le barreau. 1-> batteur fig.35( né3)p.39, il met rapidement mais préautionneusement de l'encre, il ne faut pas qu'il y en ait de trop
2 -> pressier va mettre un coup de barre, puis un second fig.35(né4)p.39. Pour imprimer une face de feuille il faut 20 seconde. 180 faces de feuille/heure. 320 pages au format Octavo (Cool soit 20 feuilles x 900 exemplaires soit 40 feuilles x 900. un livre de 320 pages en Octavo peut ére effectu·en 1 semaine. Dé la renaissance diffusion en quelques jours d'un livre en 900 exemplaires.
Poste 3 -> pressié : la presse fig.38 p.40 est faite de deux grosses poutres o·se trouve une vise platine au centre qui permet de presser la feuille, le pressi·donne un coup de barreau. Le train, au centre est un rectangle dans lequel vont ére plac·les caractées lignes ·lignes. La forme(ce qui contient les caractées) dans le train repose sur du marbre. Les espaces dans la forme sont des galés.

Didot ·invent·la presse ·un coup (avant pour imprimer une face il fallait deux coups) au XVIIIés.
Une presse au XVIés. vaut 30 livres (plusieurs mois de travail pour un ouvrier).
Pour imprimer un livre il faut environ 30 000 caractées pour faire une bonne dizaine de pages. Fig.33 p.38 casse pos·sur des tréeaux.
Ce qui coée le plus chée est le papier dans la crétion d'un ouvrage. Une rame de papier (500feuilles) vaut un quart de livre, et dans une journé il faut environ 3 rames de papier.
La main d'oeuvre au XVIés et XVIIés sont tré mal payé, ils sont tré compéent mais sont exploité. Sont réuté buveurs, violents.

Cours d'histoire du livre du 20 novembre

III La préentation du livre ancien
Une catachrée -> déigner une chose par une image (''insulte'' chez capitaine Adock)
Folio recto -> en ayant la feuille face ·soit.
Folio verso -> en ayant tourn·la page.
p.41 fig. 44, 45
une feuille pli·donne un cahier.
Une feuille pli·en 2 -> in folio -> donne 4 pages
Une feuille pli·en 4 -> in quarto -> donne 8 pages
Une feuille pli·en 8 -> in octavo -> donne 16 pages
Une feuille pli·en 16 -> in 16 -> donne 32 pages
Diff éence entre livre d'usage domestique, qui permet de lire au lit ou dans un coche, et livre d'usage, que l'on peut mettre sur une table ·plat pour travailler sans que le livre se referme.
Les plus petits formats sont moins chées ·l'achat que les grands livres car ceux la utilisent beaucoup plus de papier.
Livre savant (format in folio), personnel (format in quarto, in octavo), et de distraction (format in 16).
p.33. Ronsard est publi·dans un format in folio car le publieur voulait rendre un hommage ·ce grand poée.
Fig.3 p.27 -> en taille rélle les caractées de Gutenberg.
Il y a donc une éolution des caractées car impossible de mettre ce caractées gothique (1455 – 1470) dans un format in 16. Apparition en Italie vers 1470 du caractée romain fig.22, 22ter p.33. A partir de 1494, toujours en Italie, crétion du caractée italicus, soit italique par Alde Manuce fig.22bis p.33.
A chaque format correspond un type de texte, un type de lecture. Connotation séieuse/intime, de distraction.
Vente en blanc : livre juste emball·dans une feuille de protection pour que l'acheteur aille voir son relieur pour avoir une reliure personnalisé.
Les livres circules dans des tonneaux, d'o·d'intéé de ne pas les relier pour ne pas les abéer.
p.41 Difféence entre un livre broch·et reli·
Broch·-> livre juste cousu au dos (maintenant sont collé avec une couverture souple et non rigide)
Reli· -> deux plaques de cartons recouvertes de cuire : les plats, qui protéent le livre et le dos aussi en cuir qui est cousu au livre et permet ce livre de traverser les siéles. Le cuir est déoratif mais aussi permet l'articulation du plat par rapport au dos.

CM du 4 déembre

1455 – 1500 éoque des Incunables -> lien fort avec les manuscrits méiéaux (ils imitent les manuscrits et utilisent le travail des enlumineurs. Ils laissent un espace dans le texte appel·une réerve pour que l'enlumineur puisse faire sa lettre ·la main. (p.29 - 30)
-> pas de rupture net entre le livre imprim·et le manuscrit
p.29 -> incipit double qui sert de titre et de table des matiées.
Au fur et ·mesure, le titre va ére séar·du texte, gagner une place et s'installer sur une page de titre.
p.30 fig. 7 -> page de titre -> le ''l'' est comme une enluminure qui est le déut du titre ''Le grand testament de Villon et le petit ....'' -> fait aussi table des matiées. Le titre doit attirer l'oeil.
fig.9 -> texte imprim··Venise puis imit·falsifi··Lyon.
Incipit -> déut Explicit(us) -> fin
fig.10 -> page de titre et publicit·-> servait d'affiche pour inciter le lecteur d'acheter.
fig.6 -> petite brochure imprim··l'occasion d'un ééement historique -> Occasionnel (une sorte de pr·journal)
p.32 -> frontispice -> fig.18 -> format in folio -> premiée traduction en langue anglaise de la bible en 1539 ·la volont·d'Henri VIII.
Fig.19 -> font -> colonnes comme dans un amphithétre, une femme est allongé au milieu, le squelette de la mort se dresse au dessus, tout le monde est curieux de savoir comment elle est morte. L'entré du livre se fait solennel, on entre dans le savoir.
Fig.17 -> Utopie de Thomas More, encadrement fait par un peintre de renomm·
Entré dans le livre de plus en plus solennel jusqu'en 1550 ·partir de l· les choses seront plus simplifiés.
1490 -> au recto seulement apparaissent les numéos de pages. I, II, III... Ce ne sont que les folios qui sont annoté.
p.35 fig.35 -> signature de cahier. Pour guider le relieur, les cahier éait annoté A pour le premier B, C etc... -> GIII signifiait que ce recto appartenait au cahier G et que c'éait la page III. A partir de 1560 les pages commenéient ·ére numéotés 1, 2, 3... Peu ·peu le lecteur va pouvoir se repéer (dans les temps méiéaux c'éait grace aux rubriques que le lecteur se repéait), apparaé les manchettes -> dans les marges, imprimé en petit se sont les indications qui permettent de réum·le contenue de chaque ééents de l'index.


IV L'éonomie du livre ancien dans l'Europe moderne (16é-18és.)
éditeur/Imprimeur/Libraire
éditeur pouvait aussi ére libraire.
L'auteur compte le moins dans l'histoire. Il y a un divorce dé 1532 entre les intentions de l'érivain et les éiteurs qui devraient encourager les auteurs et qui ne le font pas. Certains libraires peu scrupuleux vendent ·leur nom des textes qui ne sont pas leurs.
-> Marot va souligner le manque de scrupule de certains éiteurs
Certains passages sont ajouté sans le consentement de l'auteur -> interpolation; du ·l'appé du gain, la facilit·vont ''salir'' le travail des auteurs.
1469 -> mise en place des privilées -> protection par les officiers du roi de l'investissement du libraire, ce qui permet au libraire pendant 5, 7, 10 ans de pouvoir imprimer tel livre sans que d'autres libraires aient le droit de vendre la mée oeuvre -> permet de ne pas ére copi· pirat·
1710-> mise en place en angleterre du Copyright (droit de copie) -> si un libraire veut republier le livre d'un auteur encore vivant, il doit lui reverser une partie des droits. En france, c'est seulement en 1777 qu'un mouvement se forme. Beaumarchais s'associe avec deux dramaturges Sedaine et Marmonde (é) pour crér la socié·des auteurs dramatiques pour qu'ils puissent toucher une partie de l'argent de la piée, et que ce ne soit pas que les patrons de thétres et les acteurs qui touchent une réunéation. Cependant cette associations n'aide que les dramaturges.
Le livre est aussi un monde financier ou l'auteur ne compte pas vraiment.

V La circulation du livre dans l'Europe moderne (16é-18és.)
Diffusion rapide : -péiode des incunable (1450-1500), environs 30 mille titres, soit environs 15 millions d'exemplaires. (75% en latin, 25% en vernaculaire)
-péiode du 16éée (1500-1600), environ 200 mille titres, soit 200 millions d'exemplaires. (60% en latin, 40% en vernaculaire)
-péiode du 17éée (1600-1700), 400/500 mille titres, soit 500 millions d'exemplaires. (65% L, 35% V) -> le latin perd de plus en plus de terrain bien qu'il soit toujours dominant -> montre que les livres sont a caractée séieux, veulent diffuser un savoir.

Beaucoup de bibliothéues dans les couvents, avec beaucoup de manuscrits et d'imprimé, ainsi que par les bibliothéues princiées. Mais celles-ci commences ·apparaére dans les couches inféieurs, modestes plus on avance vers le 18é plus on remarque qu'ils ont une petite bibliothéues formé de 30-50 livres. Le nombre d'analphabée n'éait pas aussi important que nous le pension, dans les villages il y avait un certains nombres de personne qui pouvait lire. Mais il y avait aussi les lecteurs qui, lors des veillés, pouvaient lire ·ceux qui ne savait pas lire.
Constitution de belles bibliothéues non pas par des princes, des abbayes, des couches supéieurs, mais aussi par des poées, tel Desportes. Montaigne dans sont livre III nous dérit é bibliothéue
-> idé de plaisir d'avoir des livre -> Bibliophilie -> plaisir ·collecter d'anciens livres (un bibliophile connu -> Montesquieu, ou encore Mazarin qui a léu·sa collection que l'on peut retrouver dans la bibliothéue de Mazarin ·Paris)
Fin du 18és. les bibliothéues privés s'ouvrent au public (il y en avait 18), mise en place de cabinet de lecture -> tenu par des personnes qui rachetaient des livres et qui les louaient moyennant finance, ·toutes personnes.
Colporteur -> personnage en marge de la socié· qui portait autour de son cou (d'o·le nom) une éorme boée de bois qui contenait des poupés, des jouets, des boutons,... des objets peu encombrants, qui permettaient aux villageois reclus de bééicier de certaines choses qu'ils ne pouvaient aller chercher, il transportait aussi des livres imprimé ·Troyes (en france) ·la couverture bleue (nomm·bibilothéue bleue de Troyes qui recouvre les histoires pop.). Ils ont é·perséuté au 16é car ils colportaient des livres ''profanes'', interdits qui éaient d'auteurs protestants.
Probl ée de la censure -> le privilée ·progressivement aid··la censure,. En 1566, l'éit de moulins annonce qu'aucun livre sans privilée ne peut ére diffusé. Par le biais de l'éonomie que la censure se fait, mais cela n'arrée pas certain imprimeurs qui continues d'imprimer sans privilées en sachant qu'ils risquaient d'ére bréé sur le béher. Il faut donc le vendre ''sous le manteau''. C'est une censure prélable.
1549 -> apparition d'un index qui prohibe certains livres ''Index Librorum Prohibitorum'' tel une liste noire, public, qui peut interdire un livre d'un auteur ou un passage d'un livre ou tout les livres d'un auteur. Dans cet index c'est le possesseur du livre interdit par le Vatican qui est puni de poursuite, de prison voir de mort.
1572-1598 -> guerre de religions -> séie de texte violents ·l'éard du roi (Libelles/panflets, livres injurieux)
1649-1640 -> sous La fronde, 10 milles panflets contre Mazarin ont é·publié, diffusé (en opposition au mazarinade)
Arriv é de Louis XIV sur le trée -> a partir de 1676 tout les livres qui peuvent ére diffusé doivent avoir un privilée + une permission -> imprimatur. Toutes pensés un peu rebelle éaient obligés d'ére imprimés en dehors de la france. La censure chasse les cerveaux vers principalement la hollandes et la suisse. En 1710 Louis XIV renforce cette réression en crént la direction de la librairie install··Versailles, o·tout les ouvrages doivent passer.
Cette censure déeloppera des librairies clandestines, imprimé en france mais signé comme si les livres venaient de Londres, de Genée,....

VI L'aventure de l'encyclopéie (1751 ·1772)
L'encyclop éie (éris en franéis) de Diderot et d'Alembert qui est produite en 28 volumes in folio, 18 volumes de textes, et 10 volumes de planches, d'illustrations (o·se trouvait les gravures). Projet initiale -> LeBreton, libraire, ·l'idé de faire l'adaptation franéise du Cyclopedia d'angleterre. Diderot fait travailler beaucoup de personnes, Rousseau, Voltaire, Montesquieu, Helvetius, Condillac, le Baron d'Aulbac, Daubenton, Turbau. Le libraire s'inquiée car la chose prend beaucoup d'ampleur, il va, sous la forme de prospectus ·travers les journaux, lettres, proposer aux lecteurs d'acheter le volume en avance, ce qui permet de financer le projet (il aura 5milles souscriptions).
Les notions sont rangé par ordre alphabéique. Il y a 5828 articles. Tout les domaines, intellectuels ou non sont pris en compte. Cette encyclopéie aura beaucoup marqu·les consciences.
Le travail aura é·tré difficile. Dé 1752, l'abb·de Prades est poursuivit car aurait mis des articles ''hééiques''. 1758, Helvetius, publie son grand trait·''de l'esprit'', qui est tout de suite mal reét car ne croit pas en dieu ni ·la vie éernelle. L'éuipe est assié··l'extéieur mais implose aussi de l'intéieur. Les janséiste, les jéuites font tout pour que cette impression de l'encyclopéie soit interdite. Mais Diderot ·des allié ·la cours tel Malesherbe le bibliothéue de la cours du roi qui les aidera.
Dimension matéielle, intellectuelle de qualit· L'encyclopéie met en place le rationalisme, c'est un des socles qui met en place le mouvement de la pensé qui améera ·la réolution.


27 novembre Cours autonome, gééal.

Points gééaux sur le livre moderne

En quoi les changements du livre influent dans le choix du lecteur

choix de la police, jusqu'aux notes qui s'ajoutent aux texte -> paratexte : terme de Genette dans le livre Seuils .
é léents préents dans le livre. (un) Priée d'inséer -> papier qui réume le livre, donne de la matiée imméiate aux journalistes, l'éiteur ''pris'' le journaliste d'inséer ces ééents dans son article.
I Péitexte éitorial
-> format d'un ouvrage fait parti de ce péitexte (tel les livres de poches ou non), les formats connotent la dignit·de l'oeuvre -> plus un livre est de grand format plus on pensera que son texte ·une grande dignit· une grande profondeur. Construction volontaire du format pour accentuer la qualit·que l'on veut faire passer sur ce texte (statut particulier qui sorte de l'habitude)
-> collection : invention des éiteurs, eux mée choisissent dans quelles collections les livres vont ére éité (Collection noire, Collection blanche (Gallimard qui est pluté crée, est assez prestigieuse en france) -> pour fidéiser les lecteurs, stratéie commerciale. De passer de la collection noire ·la blanche c'est pour un auteur une sorte de promotion.
->couverture -> premiée de couverture -> zone importante pour attirer le lecteur, repréentation du livre, porte le titre, le nom de l'auteur, le tome, l'éiteur.
Parfois ajout d'une jacket (qui s'enlée, comme une veste) permet ·un livre qui est simple de devenir attrayant pour le lecteur. Les rabats permet de faire de la publicit·des autres livres de la mée collection.
Le bandeau gééalement rouge s'ajoute sur le livre pour attirer le regard, gééalement sur les livres qui ont reé un prix, mais peu apparaére sur des livres qui n'ont pas reé de prix, mais pour vendre plus ·No· par exemple. Le bandeau peut mettre en avant une partie du contenu du texte avec des mots clefs.
Quatriée de couverture : parfois pas grand chose, parfois saturation d'informations. Indication de contenue. Apporte des informations léales, obligatoires tel le code barre, le numéos DSBN (né attribu··chaque livre, pour éiter de confondre les livres), ainsi que le prix. Dans Folio il y a un extrait du texte, un 'éhantillon', dans les éitions de Minuit, il y a des extraits de critiques de journalistes, on peu aussi avoir une biographie de l'auteur. -> donne des indications sur la maniée dont l'éiteur veut que nous percevions l'ouvrage.
Apré la premiée de couverture gééalement une page blanche qui est gard·de l'éoque ou les livres éaient reli··la main, permettait de protéer un peu le livre. Tradition
Page suivante -> page de faux titre -> seulement le titre
puis page suivante Page de titre ->o·il y a les indications sur les collections, l'éiteur, le titre -> rigoureusement la mée chose que sur la premiée de couverture.
La belle page (page impair) est l·o·les choses sont annoncés, car c'est la o·le regard se pose le premier.
En fin d'ouvrage -> numéos d'éition, indication du tirage gééal, l'achev·d'imprim·(quand et o·le livre a é·imprim·.

Attendre la fin du XIXé s. pour que l'éiteur puisse publier un livre sans demander une autorisation ·la commission de censure. L'autorisation dans lequel le censeur autorise, approuve la publication du texte ·publier.
Witman ·érit leafs of grass (feuilles de l'herbe) a choisit la couverture de son livre -> le titre éait imprim·avec des lettres qui donnaient une impressions de racines. Son livre il l'a fait éoluer, grandir au fur et ·mesure.

II Nom de L'auteur
Un érivain employe son propre nom (P. Valéy, A. Gide, ...) -> Orthonyme
Lorsqu'il utilise un autre nom -> Pseudonymat -> pour se protéer, (Vercors, ·érit un texte réistant, mais est un pseudonyme car il se protéeait des allemands lors de la seconde guerre)
-> lorsque leur nom qui ·une signification , qui pourrait ére connot· ou géer la famille de l'auteur, pour le dissimuler (Sollers s'appelait en rélit·Joyaux)
-> peut ére aussi charger de signification tel Apollinaire (garde un lien avec son nom mais est aussi un hommage ·un grand poée, lien aussi avec le dieu apollon) ou encore Aragon (province espagnole, et aussi un problée de reconnaissance paternelle)
-> crétion d'un personnage érivain; Larbaud ·publi·des poéies de Barnabooth le personnage qu'il a mont·de toute piée comme ci c'éait l'auteur du livre.
Le nom d'un autre personnage -> Hééonymes (Pessoa ·publi·des poées sous son nom mais aussi sous le nom d'autres auteurs qu'il considéait comme maére.
Utilisation d'un pseudonyme pour tester la qualit·de son texte alors qu'il est connu. Doris Lessing envoya un texte sous un pseudonyme pour voir s'il éait autant appréi·pour son érit et non pour son nom connu.
La protétion de l'auteur -> Anonymat (pendant péiode de censure les auteurs se protéeaient)
Monsieur de M**** -> Astéonyme

III Titres
Titre Rhéatique -> les confessions de Montaigne, le petit poée en prose
Titre Théatique -> les fleurs du mal de B., Les fleurs du mal,....
Déicace ->
Epigraphe -> citation d'un autre auteur
Pr éace -> espace de jeu des érivains (comme dans les lettres persanes, Montesquieu publie sous anonymat et montre comment ces lettres ont é·trouvé, traduites, etc, ... le tout invent·.
Notes -> en bas de pages, en fin de pages ou encore dans les marges (notes marginales), statut inféieur au texte mais est aussi un jeu de l'érivain avec un autre érivain.
Table des matiées (ou index) -> travail de l'érivain ou non. Division du texte avec les intertextes. Division en chapitres d··l'auteur ou bien de quelqu'un d'autre.
Illustration -> rée important, guide ou heurte la lecture préente dé le déut ou pas, d··l'érivain ou pas. Prise en compte des illustrations pour éudier le texte (Andr·Breton a des photos dans son texte et on ne peut les éiter).

Cm histoire du livre 18 decembre
(cours se referant au cours de h. marchal)


I toujours plus d'ouvrage : le livre demultiplie
a_croissance importante du livre
Avant revolution : plus ou mois 2000 titres
1889 : 15000
2005 : 66 000
Cette croissance a ete permise grace a l'evolution de la scolarisation qui passe de 35% de lecteur la veille de la revolution a 100% au debut du 20eme siecle. Les grandes lois du 19eme siecle ont permis cet alphabetisation de masse. é 1833 Loi Guizot : 1 ecole primaire dans chaque commune de plus de 500 hab. Avec obligation d'apprendre a lire et a ecrire.
é 1881-1882 Lois Ferry : enseignement primaire public deviennent gratuit et l'instruction devient obligatoire pour tout les enfants.
Pour que les eleves puissent apprendre ils leur faut des manuels : permet aux editeurs tel Hachette de fortement augmenter ces ventes.

Hachette fonde en 1826 une libraire (fait et vend les livres), au moment de la loi Guizot il recoit une commande pour fabriquer 500 mille cahier avec l'alphabet. C'est donc un moyen important pour les editeurs de gagner beaucoup d'argents et d'evoluer passer de 5 employer en 1835 a 400.

Certains ouvrages se specialisent et permet aux editeurs de toucher un nouveau public, tel les jeunes. Avec la creation des livres de jeunesse (tel les malheurs de sophie) avec par exemple la bibliotheque rose (livres destines aux enfants).

Ils creent une ''litterature industrielle'' pour ces nouveaux adultes qui savent lire. Le livre n'est plus destine qu'aux elites. Les directeurs de journaux publient des extraits de livres, avant meme qu'ils ne soient publies. Il faut donc ecrire des chapitres pas trop long inscris en bas de page, consequences, permet de faire des chapitres court et a suspense. Permet aux journaux de fideliser les lecteurs, ce qui avantages l'ecrivain qui est paye deux fois, et qui permet une plus grand publicite pour le livre.
Cette ''litterature industrielle'' est critiquee par Ste-Beuve, qui trouve que ca amene a un travail de mauvaise qualite, qui ne forme que des cliches, et ou l'ecrivain se met a utiliser un Negre.

De petits livres sont de plus en plus vendu dans les gares pour permettre aux lecteurs de se divertir dans le train (Hachette est le premier a avoir commence ce business), ce sont les livres de poches.

II Un support complexe
a_Evolution technique
production en masse, prix moins cher.
Le premier secteur touche est le papier, avec un changement de procede :
avec le papier en continu. é au lieu de le faire feuille par feuille, il est vendu en rouleau par Louis Robert en 1798. 10m de large et 2km par minutes de papier
La matiere du papier change aussi é avant le chiffon, met celui ci devient rare, cher et la marine devient a vapeur et donc n'utilise plus de voiles. Ce qui amene a l'utilisation du bois comme matiere premiere. Le bois est peu cher ce qui permet une diminution du cout du papier. Mais le papier est acide et se conserve mal.
La mecanisation des imprimeries aussi evolue é premiere presse mecanique apparait des 1814 en Angleterre lors de la production du Times. La quasi intergralite des imprimeurs utilisent une rotative pour imprimer leur journaux, machines rapides qui impriment en noir et utilisent les couleurs primaires lorsque le besoin s'en fait, le bleu, le magenta, le jaune é la Quadrichromie
Le rouleaux est crante, cependants ces crans s'usent. (voir p.48)
Marionie, en 1882 devient directeur d'un de ces journaux, Le Petit Journal (pas cher, un sou), celui-ci clame qu'il a plus de 5 millions de lecteurs. Ce qui montre que cette evolution permet enormement de tirage.
Les tirages se font encore de la meme maniere de nos jours, avec des rotatives.

b_L'impression
Des supports plats : on passe d'un support en relief a un support plat, grace a une technique d'abord utilise les images puis sur les textes. La lithographie é utilisation d'une pierre plate ou l'ion dessine le dessin directement a l'aide d'une substance grasse. On humidifie la pierre, l'eau et l'huile se repousse donc l'eau se met la ou il n'y a pas de graisse. Puis on utilise une encre grasse sue la pierre, elle ne pourra donc que se poser la ou il n'y a pas d'eau et se posera sur la graisse. L'interet : le dessinateur voir ce qu'il dessine, il n'y a plus besoin d'un graveur, enfin ca va beaucoup plus vite. Succes important qui amene a la chromolithographie (en couleur) ce qui permet la democratisation des images (au point que le mot Chromo est utilise pour parler d'images cliche que l'on voit partout). Le meme procede est utilise pour les textes, avec de l'encre grasse, l'Offset (domination a partir de 1945) p.48 é le support employe est un support plat, pas de relief, l'encre se depose la ou il n'y a pas de substances qui repoussent l'encre (prealablement mise), un support plat est donc plus facile a faire passer dans les rouleaux. Avant l'offset on ne pouvait utiliser la meme presse pour les images et le texte.
La technique de l'heliogravure. L'encre se depose dans des creux, un avantage, elle est tres peu soumise a l'usure (derniere image p.48), permet des tirages en grande quantite comme les timbres postes.

c_La composition
fin 18eme : stereotypie é moulage de l'ensemble forme par les caracteres pour conserver la composition. A la fin du 19eme, on entre dans une periode d'acceleration. Apparition de la Linotype en 1885 : vient de l'anglais Line of Types (ligne de caractere), ''mariage'' entre une machine a ecrire et une machine a ecrire. Un homme tape directement la ligne, le bloc a imprimer, puis la machine recopie et imprime a la suite ces blocs.
Photocomposition : permet de ne plus mettre les caracteres sur les rouleaux
puis le PAO (publication assistee par ordinateur) accompagne les imprimeries. Le texte est sur l'ordi avant d'etre envoye a l'iprimante totalement automatise. Nous sommes tous des imprimeurs si l'on a un ordinateur et un imprimante a la maison.

d_Le regne des images
Diminution des couts. La photographie (invention du 19eme s.) s'integre de plus en plus aux livres. En premier lieu elles sont collees sur les livres, puis sont imprimees a meme le papier. L'image occasionne une forme de surcout pour les editeurs mais l'image ne devient plus un objet de luxe. 19eme, siecle des illustrateurs. Cela amena aussi aux ecrivains a integrer des images dans leurs livres.

e_Evolution institutionnelle
Les metiers du livre sont plus libres et mieux proteges. Bilan evident:
Suppression de la censure en 1815.
Obligation pour les imprimeurs et libraires d'avoir un ''Brevet'' pour pouvoir imprimer et publier ; se sera abolie en 1870.
En 1857, deux proces sont fait a deux ouvrages, Madame Bovary (flaubert sera acquitte) et Les fleurs du mal (Baudelaire sera condamne)
en 1881, la liberte d'impression et d'edition est enfin possible (excepte lors de la 2nd guerre mondiale lors de l'oppression des allemands).
Mais certains livres sont interdits aux jeunes (tel les pornos de nos jours). Certains libraires peuvent encore etre punis et interdits de publication (mais rare)
Les droits de l'auteur : ils sont mieux proteges contre la confrontation. Une professionnalisation des ecrivains apparaé et ils souhaitent donc une potection de leur texte
1838, la societe des gens de lettres : Hugo, Dumas, Blazac,... fondent cette societe, pour defendre les droits des erivains. é Une oeuvre ne peut etre reproduite sans qu'une partie de l'argent revienne a l'auteur (ou a ses heritier) jusqu'·70ans apres la mort de l'auteur. Apres 70ans une oeuvre tombe dans le domaine public.
Les contrats signes entre les auteurs et editeurs sont plus precis. A partir de la fin du 19eme siecle, la contrefacon disparaé. Enfin, le depot legal permet a un editeur de deposer quelques ouvrages aupres des bibliotheques nationales, ce qui permet de proteger le droit de l'imprimeur.
390 ouvrages en 1780 ; plus de 50 000 en 1997
ISBN (International Standard Book Number)

Un bien culturel. En 2004 chiffre d'affaire du livre : 5 milliards. Le livre a une importance symbolique et suit un calendrier.

III Mutation et renouvellement de l'ecrit
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Cours Laetitia
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